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Extraits de presse


Qu’est-ce que c’est ?

 

« Traditionnelles ou d’aujourd’hui, les chansons choisies par les deux petites bonnes femmes de Julot Torride règlent leur compte aux mecs et aux jules de tout poil. »

B. Prouteau, Scène Nationale de Poitiers (saison 2002-2003)

 

«Tout un trésor de grivoiseries et de situations drôlatiques. Une galerie de personnages bien sentis qui, même si certains textes datent d’un ou deux siècles, n’ont pas vieilli. 
Sebastien Defaye, Le courrier de l’Ouest (jeudi 17 août 2006)

 

« La voix pure et le joli minois de Julie Toreau pourraient servir les plus belles chansons d’amour. Mais la miss est turbulente, rieuse et obsédée textuelle par-dessus le marché : elle repère et accommode à sa sauce des chansons à texte, d’hier et d’avant-hier.. » 

Centre Presse (février 2003)

 

« Attention : Spectacle pour zygomatiques résistants !Ces "nonnes-rockeuses" nous ont converties. Plongées dans un univers féminin peuplé de métaphores suggestives, un soupçon grivoises de temps en temps, on en vient à regretter l’époque médiévale et celle où la bergère s’en allait avec ses blancs moutons. »
Cathleen et Charlotte, Radio Campus www.radiocampuspoitiers.net  (mai 2006)
 

Comment c’est ?

 

« Un subtil mélange de drôlerie, d’intensité et d’émotion »

Centre Presse (6 mars 2003)

 

« Chanteuse "à textes ", Julie a de la gouaille, un joli brin de voix, toute ronde et chaude. Elle choisit ses textes dans le répertoire suranné de Fréhel ou Yvette Guilbert, dans celui du folklore ancien et joue sur plusieurs niveaux de langage. Parfois champêtre et poétique, souvent grivois, volontiers précieux, toujours incisif, tel est son choix : (…) un répertoire de qualité. »

L’Eclaireur du Gâtinais (février 2002)

 

« Sous la voix, l’alto sait se faire caméléon. Tantôt fluet, tantôt musclé et même ébouriffé quand l’archet se transforme en mediator et le violon en guitare électrique.
Sud Ouest (samedi 12 août 2006)

Moitié clowns et chanteuses, actrices et musiciennes vétues de rouge et de noir, les Julot Torride mettent le feu ! Emmanuelle nous prouve qu’un violon peut tout faire et nous offre un grand moment de l’histoire du rock. Julie, chanteuse lyrico-comique, traverse la scène en pas de bourrée et arabesques inégalables. On en redemande ! »

Cathleen et Charlotte, Radio Campus www.radiocampuspoitiers.net (mai 2006)

 

Alors, féministes, ou pas ?

 

« Si les machos sont passés à la moulinette par la  "môme catch-catch ", les filles rêvant du prince charmant sont également malmenées par ce duo de choc. »

La mémoire partagée (octobre 2001)

 

Ces deux libellules ressemblent plus à Fifi Brindacier et Boucle d’Or qu’à deux chiennes de garde féroces et aguerries. »

Centre Presse (février 2003)

  

«Les deux guerrières en dentelles et en Doc Martens de Julot Torride sont en réalité deux résistantes futées. Avec un humour désarmant, nos deux charmantes amazones ne revendiquent pas pour autant le port de la culotte, elles se contentent de retourner les flèches du gentil Cupidon contre les hommes qui en font trop… ou pas assez. »
B.Prouteau, Scène Nationale de Poitiers (2002-2003)

 

 Y a-t-il une morale à tout cela ?

 

« Morale de l’histoire : les femmes mènent les hommes par le bout du nez. C’est dit, et personne n’a protesté. On a simplement et chaleureusement applaudi. »

L’Eclaireur du Gâtinais (février 2002)

        


 
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